Record victoires entraîneur
Sébastien Guarato (x5) : Bold Eagle (2017, 2018, 2019), Billie de Montfort (2020), Face Time Bourbon (2021).
Henri Levesque (x4) : Oscar RL (1965), Roquépine (1967), Upsalin (1970), Hadol du Vivier (1978).
Roger Baudron (x4) : Quérido II (1968), Khali de Vrie (1983, 1985), Réussite de Rozoy (1991).
Jean-René Gougeon (x4) : Une de Mai (1972), Ourasi (1987, 1988, 1989).
Jean-Claude Hallais (x3) : Casdar (1975), Fadet (1979), Bonheur de Tillard (1996).
Léopold Verroken (x3) : Kisin (1982), Vourasie (1994, 1995).
Jean-Michel Bazire (x3) : Késaco Phédo (2004, 2007), Kazire de Guez (2006).
Thierry Duvaldestin (x3) : Ready Cash (2011, 2012, 2013).
Record de la course
→ Délia du Pommereux, 1’09’’6 (2023).
Record mâle/femelle
●Mâle : Texas Charm et Gu d’Héripré, 1’10’’ (2014 et 2024).
● Femelle : Délia du Pommereux, 1’09’’6 (2023).
→ Délia du Pommereux, 1’09’’6 (2023).
Record mâle/femelle
●Mâle : Texas Charm et Gu d’Héripré, 1’10’’ (2014 et 2024).
● Femelle : Délia du Pommereux, 1’09’’6 (2023).
Histoires de familles
Lurabo, en la compagnie de Ready CashDepuis un demi-siècle, seulement deux vainqueurs du Prix de Bourgogne ont ensuite produit un ou plusieurs gagnants de la course. Il s’agit d’abord de Lurabo, lauréat de l’édition 1984, avant de donner Abo Volo, le vainqueur de 1997. Ready Cash –encore et toujours lui !– est l’autre sujet en question, trois fois au palmarès de l’épreuve, en 2011, 2012 et 2013, en prélude à son fils, Bold Eagle, sacré en 2017, 2018 et 2019. En 2021, un deuxième « Ready Cash » défraiera la chronique du Prix de Bourgogne, à savoir Face Time Bourbon.
La palme à Fleurasie
La poulinière de Raoul Ostheimer, Fleurasie, est à la tête d’un petit exploit dans le Prix de Bourgogne, étant cinq fois à son palmarès par progéniture interposée. Son fils, Ourasi, l’emporta, en effet, à trois reprises, en 1987, 1988 et 1989, avant que sa fille, Vourasie, ne fasse coup double en 1994 et 1995.
Hadol et Fakir : duel fratricide
L’édition 1978 se singularise, dans la mesure où le jumelé affiché à l’arrivée est constitué des deux frères utérins, Hadol du Vivier et Fakir du Vivier. C’est le cadet qui dicte sa loi, mais il faut noter que l’aîné lui rendait vingt-cinq mètres. Quatre semaines plus tard, dans le Prix d’Amérique, « Fakir » repassera devant « Hadol », mais leur duel sera arbitré par Grandpré.
Seulement trois trotteurs étrangers au palmarès
Le Prix de Bourgogne a longtemps été une compétition fermée et ne s’est ouvert à la concurrence étrangère qu’assez tard. L’américaine Moni Maker a été sa première lauréate non indigène, en 1999, drivée par notre « JMB » national. Il faudra ensuite attendre seize ans pour assister au succès d’un autre trotteur américain, en l’espèce Solvato, en 2015. Vainqueur en 2022, le norvégien Cokstile complète le trio.